— Il est 8 h du matin, et Maxime est en retard. Une raison suffisante pour oublier les bons réflexes de l’éco-conduite ? Sûrement pas ! Maxime démarre son moteur sans accélérer inutilement et, une fois lancé sur le chemin du bureau, il fait son maximum pour maintenir une vitesse stable avec le plus haut rapport possible : à 2000 tours/minute, il passe rapidement le rapport supérieur.
En retard mais toujours prudent et alerte, Maxime anticipe pour avoir à accélérer et à freiner
le moins possible. Une pente en descente ? Il utilise le frein moteur pour ne rien consommer
et mieux contrôler son freinage que s’il était au point mort. Un virage serré ? Il relâche la pédale d’accélérateur avant de freiner. Un embouteillage ? Il éteint son moteur à chaque arrêt de plus d’une minute ou utilise le stop & start. Un coup de chaud ? Il limite le niveau de sa climatisation à 4/5 degrés en dessous de la température extérieure. Et pour optimiser davantage sa consommation de carburant, Maxime contrôle la pression de ses pneus au moins une fois par mois, et effectue un entretien régulier de son véhicule.
S’il respecte les principes de l’éco-conduite, c’est que Maxime sait qu’il est de toute façon gagnant : en adoptant ce comportement responsable, il améliore son confort de conduite, réalise des économies de carburant jusqu’à 15 %, et limite l’usure de son véhicule. De plus,
il réduit ses risques d’avoir un accident et participe à la réduction des rejets de gaz à effet
de serre et polluants dans l’atmosphère. Ainsi, il agit à la fois pour la planète, pour les autres usagers qui partagent la route avec lui, et, encore mieux, réduit ses dépenses !
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